Du haut de son mètre soixante-douze, Jill est de proportions va-t-on dire "normal". Un corps plutôt fin, des bras et des jambes qui sont de mêmes. La jeune fille n'a pas un corps de rock-star et ne s'extasie pas non plus devant le miroir pendant trois heure. Son look quand à lui est tout à fait banal selon elle. De long cheveux qui arrivent jusqu'à ses hanches, même un peu plus bas, qu'elle attache toujours car elle n'aime pas les avoir devant les yeux, mais ne veut pas les couper pour autant. Ses cheveux sont orange-rouge avec les pointes jaunes, ce qui n'est pas sans rappeler la couleur du feu. La jeune fille à aussi un tatouage, partant de la hauteur de sa poitrine jusqu'à son nombril et celui-ci est, lui aussi, de couleur rouge
Niveau vestimentaire, Jill s'habille haut en couleurs car celles-ci lui donnent toujours la pêche. Bien sûr, elle peut tout de même s'habiller sobre lorsque l'on lui demande, ou alors quand elle se met en mode "décontraction" ou qu'elle à la flemme de s'habiller bien.

Flemmarde : Tu me fais chier laisse moi dormir
Une fois qu'elle est bien installé, plus rien ne peux décoller son séant de la place où elle se trouve. Enfin plus rien ... les yeux de chien battu de son frère la font toujours céder. Sauf le matin au réveille ! Son frère, le réveille, des travaux, de la musique à fond, elle ne bougera pas de là. Elle se lèvera, tapera un bon coup se qui l'empêche de dormir, puis repartira comme si de rien n'était.

Langue de vipère : J'arrive pas à mettre ma langue dans ma poche t'y arrives toi ?
Jill est toujours là quand il ne le faut pas. Elle déboule comme si de rien n'était et affirme haut et fort sa façon de penser. Elle est toujours franche quand on lui pose une question, mais malgré cela elle est sait pertinemment que ça peut lui jouer des tours.

Souriante : Bon ch'en ai mare de chourire là et puis ch'ai mal au choues moi !
La jeune fille est toujours souriante et énergique, elle ne pleure que très rarement. Jill rigole toujours que se soit pour son frère qui trébuche ou pour une blague qui à complétement foiré. Même lorsque les autres pleurent, elle trouve toujours quelque chose pour la faire rire. Mais des fois c'est juste une façade car elle ne veut pas qu'on voit sa fragilité.

Sensible : Tu parles, elle se prends un mur en pleine face elle dit même pas un "Aie"
Sous ses airs de folle souriante, Jill cache une tout autres personnalité. Elle est très sensible à ce qu'on lui dit et du coup elle s'énerve toujours vite et pour un rien. Et bien qu'elle trouve son frère un peu trop "collant" elle ne pourrait s'imaginer être séparée de lui.

Provocatrice : Tu me cherches, et ba tu me trouve !
Jill est très provocatrice, elle qui cherche toujours quelque chose à faire, n'hésitera pas à inventer des paris stupide pour s'amuser et faire passé le temps. Mais en plus de son attitude provocatrice la jeune fille peut se révéler violente lorsque qu'elle est vraiment énervé.

Née à Itako dans la préfecture d'Ibaraki Senri n'a pas eu une enfance très difficile. Quoi de plus normal ? Enfin normal pour la jeune fille, non pour ses parents. Déjà enfant Jill était une catastrophe ambulante. Une touche à tout et surtout une casse tout. Tout les objets de la maison passaient sous les doigts petits frêles de la petite fille. Elle examinait tout dans les moindres détails, chaque recoin de la maison y compris. Les parents de Jill l'ont emmené maintes fois chez une docteur, un psychologue. Mais personnes ne trouva quelconque raison à son comportement. Quelque uns dirent bien évidement que c'était une enfant hyperactive, mais la petite fille n'était pas vraiment à ce stade là. Les parents se firent donc au comportement, bien qu'étrange, de leur fille.
Vers ses six ans, Jill découvrit quelque chose d'incroyable, quelque chose qu'elle n'aurait pu décrire, encore aujourd'hui, s'il fallait le dire en un mot. C'était un soir où la petite fille regardait la télé avec ses parents, enfin plus exactement regardé un concert de musique. Un vieux groupe que son père voulait lui faire découvrir. Et se fut alors le dé-clique pour Jill. Tous ses sons qui sortaient comme par magie, cette mélodie envoutante. Mais le regard de la petite fille fut vite attiré par un instrument tout particulier, la batterie. Le batteur bougeait, souriait, il transpirait mais pour être encore plus satisfait de son jeu. Jill n'avait les yeux fixaient que sur cet homme et son instrument, oubliant les autres sons.
Quelques semaines plus tard son engouement pour cet instrument fut récompensé et la petite fille commença la batterie. Elle était si sérieuse lorsqu'elle en jouait, un sérieux que personne n'aurait pu imaginé venant d'elle. Le plus étonnant c'est qu'au fur et à mesure qu'elle pratiquait son comportement s'améliorait, elle devenait moins turbulente, elle avait trouvé quelque chose pour se défouler.
Son comportement étrange, qu'elle ne tenait ni de son père ni de sa mère, s'atténua aussi en grandissant, mais à la place un tout autre comportement fit son apparition, un comportement qui cette fois était réellement de famille. Une attitude provocatrice et sa langue de vipère qui l'a fait parler d'elle aujourd'hui. Mais ça ses parents ne s'en préoccupèrent pas, car ces gènes étaient dans leur famille depuis bien longtemps.
A seize ans Jill intégra une prestigieuse école d'art de Tokyo. Grande, belle, formant les plus grands artistes. Mais très vite la jeune fille s'en lassa. Les gens de cette école était tous riche, intelligent, ne s'écartant jamais du règlement, ils ne s'amusaient jamais. L'étudiante aillant un caractère très contradictoire à ça, elle n’eut que très rarement des amis, voire aucun. Alors Jill demanda à changer d'école, quitte à se qu'elle soit moins bonne, mais se sentir enfermé sans aucun contact avec qui que se soit la frustrait plus qu'autre chose.
Les parents de la jeune fille cherchèrent bien des écoles, mais toutes n'acceptaient que des élèves studieux, puis un jour en vacances, Jill était parti se promener dans les rue de leur destination de voyage. Et se fut la rencontre, une rencontre des plus merveilleuse pour Jill. Yoshitoki, un nom resta gravé dans la mémoire de Jill. Une école d'arts où les quelques élèves qu'elle avait vu étaient joyeux, et non des coinçaient drogués aux livres de Beethoven.
La jeune fille s'empressa donc d'en parler à ses parents qui acceptèrent sans broncher. Mais avant Jill se devait de terminer sa formation à Tokyo. Avec beaucoup de regrets elle le fit.
Puis à ses 18 ans elle partit, partit dans cette école qu'elle n'avait jamais oublié, non pas seulement parce que sa mascotte était bien atypique. Et arriva donc à Yoshitoki Academy, valises en mains, casque sur la tête et sourire aux lèvres.