Erika mange comme quatre, inutile de le niais, elle ne peut s'empêcher de manger trois boîtes de Granolas ou de cookies, dès qu'elle passe devant une pâtisserie elle se rue à l'intérieur et y dépense une fortune rien que pour de simple cupcakes ou des muffins, tout y passe.
La jeune fille dessine bien, elle adore s'installer dans un coin à l'ombre, sous un arbre par exemple et dessiner les gens qui passent, les animaux se promenant ou le paysage.
Entêter comme il faut, quand la jeunette a une idée derrière la tête, elle ne la laisse pas s'échapper et ne laisse personne se mettre en travers de son chemin, énergique par la même occasion, elle ne rate jamais un seul instant pour faire du sport, elle aime énormément la gymnastique et la danse mais elle pratique peux la danse. Erika aime énormément faire des blagues, que cela fasse rire autrui ou non, tant que cela la fait rire à elle, elle évite tout de même les blagues avec certaines personnes, en particulier quand elles sont peux communicative ou assez replié sur elle-même. Erika reste tout de même généreuse et peux venir en aide à n'importe qui, tant que la personne reste respectable avec elle, elle l'est naturellement, néanmoins celle-ci a beau être généreuse, elle reste envieuse envers ceux qui respire le bonheur à pleins nez, elle a parfois horreur des gens comme cela, qui se vante d'avoir une vie parfaite avec des supers amis et des parents formidables, Erika évite de leur parlé à tout prix et les laisses dans leur coin en général.
Sous ces airs de jeune fille blagueuse, prenant la vie comme elle vient, elle reste très sentimentale et pleure souvent quand elle n'a plus de gâteaux, qu'elle est fatigué ou bien devant un film triste, comme le Tombeau des Lucioles par exemple.
Malgré ces quelques problèmes, Erika reste une personne courageuse et confiante.

Du haut de son Un mètre soixante deux, Erika n'est pas très grande, mais elle s'en porte bien, une poitrine normal, des jambes longues et fines, un ventre plat et des hanches peux existante mais ça ne la dérange pas non plus, des bras un peux musclé car oui le sport ça paye.
Une peau de couleur laiteuse, des lèvres de couleur rosé pas très pulpeuse, un nez court et fin, des joues toujours rouge, non pas qu'elle soit timide, c'est simplement comme ça.
Ses yeux sont marron, virant au châtain avec quelque marques verdâtre clair, au soleil ceux-là prennent une couleur dorée très appréciée par la demoiselle. Ses cheveux châtain clair arrivant un peux aux dessous de ses omoplates, une frange carré ainsi que deux mèches arrivant à ses clavicules encadrent ce doux visage.
Il est insupportable pour la jeune fille de devoir se montrer devant quelqu'un, à moitié habillé ou sans vêtements, en maillot ou autre chose comme ça, pas qu'elle n'aime pas son corps, seulement une chose qu'elle déteste, comme ça, allez savoir pourquoi.

Niveau vestimentaire, la jeune fille porte des vêtements de tout les jours, mais le plus souvent des chemises avec un jean's slim et des Derbie's, un style tout à fait normal. Essayant de ne pas se faire remarquer, elle adoptera toujours un style avec des vêtements plutôt ample ainsi que des couleurs pâles, celle-ci est adepte de bonnets et de casquettes, il est impossible de la voir sans un chapeau, elle aime énormément les pulls, courts ou longs, tout les styles lui vont. Elle porte toujours un collier en or autour de son cou, lui rappelant souvent sa mère et un ruban qu'elle attache autour de son poignet gauche, un cadeau de son père.

La jeune fille à la chevelure claire jouait dans le jardin, elle courait comme un petit lapin, sans être fatigué, elle ne s'arrêtait que pour dire bonjour à son Chowchow Markus-Twinkie, drôle de nom ? Et encore, il y eu pire, son ancien hamster se nommait Mélanchon.
Sa mère, Aurore Balker, était souvent occupé par son jardin, c'était une véritable passion pour elle, elle y faisait pousser des Lys, des Roses et d'autre plantes, les Lys faisaient le bonheur d'Erika, elle était fascinée par ses fleurs, pour Erika le Lys représenterait l'espoir que chacun de nous possédons, la force de continuer à avancer sans se laisser abattre par des évènements dramatiques, sa maman était d'accord avec elle, il lui arrivait souvent de mettre des Lys dans la chambre d'Erika, cela lui faisait tellement plaisir.
Le père d'Erika n'était pas souvent présent pour sa petite fille, il travaillait pour une grande société d'Electronique, la jolie petite famille n'avait aucun soucis d'argent, ce qui était préférable étant donné qu'Aurore était mère au foyer, elle pouvait donc s'occupé d'Erika chaque jours tranquillement.
Une bonne année plus tard, après qu'Erika eut fêter ses douze ans, sa mère lui offrit un collier en or, il était simple et pourtant si beau, Erika était heureuse, c'était ça le principal, peut important le cadeau, la grandeur, le prix ou n'importe quoi d'autre, tant qu'elle pouvait restée avec sa mère, le reste lui importait peux , son père ? Il n'était pas venu à son anniversaire encore une fois, son prétexte ? "Trop de travaille, je n'ai pas le temps de prendre du repos.", c'était dur pour la jeunette, mais son père lui avait cette fois-ci envoyé un cadeau, un ruban, un ruban de couleur rose pâle, il était vraiment jolie, cela lui faisait tellement plaisir, que des larmes s'échappèrent de ses yeux pour venir se déposer dans le creux de ses mains. Futile de pleurer pour ça ? Certainement.
Deux ans plus tard, son père fit une crise cardiaque à son bureau, on dut l'emmener aux urgences, mais rien n'y fit, il avait fini par mourir d'épuisement au bout de trois jours, son cœur était tellement mal en point, mais Erika durant ces trois jours n'avait pas quitté le chevet de son père, elle lui parlait tout le temps, lui racontait ce qu'elle faisait avec Markus', ce que maman faisait au dîner, tout ce qui lui passé par la tête, ils étaient heureux, tellement. Au milieu de la nuit, Erika se dirigea aux toilettes, puis quand elle partit revoir son père, son regard n'avait plus aucune lumière, plus aucun espoir, Erika appela le service elle fondit en larmes, sa mère dut venir la récupérer, il était mort le Vingt-neuf septembre 2009.
Après toute cette agitation, il fallut plus d'un an à la jeune fille pour s'en remettre, mais elle s'en ait remise, avec du mal mais elle a surmonté ça. A l'âge de seize ans, sa mère l'envoya dans l'Académie Yoshitoki, pas seulement pour le plaisir, non, parce que la jeune fille se débrouiller très bien en dessin.