« La perfection ne reflète souvent qu'une forme d'imperfection. »

C'était un froid matin d'hiver. Dans un manoir plutôt massif aux abords de la ville de Cologne, une dizaines de femmes, vêtues en Maids courraient dans tous les sens. La panique se lisait sur leurs visages, aucun doute là dessus. Elles se relayaient devant d'une chambre, où des cris féminins exprimaient la douleur, la hâte. Depuis la veille, la femme se plaignait, lâchait des râles et désirait son mari. Et oui, lorsqu'une femme mettait au monde un petit enfant, elle ne voulait qu'une chose, pouvoir frapper sur un homme ! Non, c'est une plaisanterie, elle n'avait juste besoin que de sa présence, mais l'homme ne savait pas se déplacer, trop occupé ailleurs. Elle n'allait pas l'attendre jusqu'au soir pour mettre au monde sa petite fille, ça, jamais de la vie. Elle se mit donc à pousser à la contraction. Le médecin lui fit signe de continuer, de ne pas relâché et, au bout des quelques poussées, le nourrisson lâchait son premier cri. Une mignonne petite chose, qu'on nommait Alice Maria. Le père fut distant avec la petite dès le premier jour. Il était vrai qu'il désirait un garçon et qu'avoir une fille, son unique enfant, de sexe faible, blessait l'orgueil. Bon, il fallait dire que l'homme en en lui-même, Heinrich Düssendorn n'était pas très... Sociable en l'apparence. Selon Alice, « C'est un homme froid et distant. Il ne fait aucun effort pour combler le manque de lui-même envers ma mère. Ce qui me répugne totalement. » voilà en somme, les mots qualifiant cet homme.

Mais il fera de sa fille un garçon manqué, dès qu'elle atteint l'âge de 7 ans, il l'initia à l'escrime, le duel avec l'élégance en plus. Il lui inculquait les valeurs nobles et ne pensait qu'à faire de sa fille le garçon idéal. Plus les années passaient, plus Alice se posait de nombreuses questions. Est-ce Heinrich voulait vraiment sa fille, ou voulait-il seulement la rendre plus masculine ? La petite aimait se vêtir de robes en dentelles, ce que n'appréciait pas son père. Un jour, la jeune fille se rebella contre l'autorité de son père et celui-ci n'hésita pas ; il offrit à sa fille une cicatrice sur le visage. « Tu n'es qu'une fille faible, tu n'arriveras jamais à la hauteur de ton père. » furent les mots de l'homme, tandis que la petite retint ses larmes de douleur. Cette cicatrice ne s'effacera jamais et lui prouve à chaque fois qu'elle doit surpasser cet homme qui l'avait négligé pour ce qu'elle était. Les années passèrent encore, jusqu'à ce que la demoiselle veuille être maître de son destin. La crise d'adolescence, est une sorte de crise existentielle où l'on se pose énormément de questions. C'est une passade cruciale avant l'étape adulte. Alice ne fut pas une exception. A ses seize ans, la demoiselle eut envie de partir pour accomplir un souhait auquel elle tenait particulièrement : Le théâtre. Elle désirait devenir une grande metteuse en scène, une auteur au grand mérite. Mais pour cela, il fallait visé dans l'étude à l'étranger, étant donné que les universités... Ne lui apporterait rien. La détermination se lisant sur son visage, la demoiselle fit ses bagages et décolla pour atterrir au Japon, là où l'attendait l'académie Yoshitoki.


  » Pire ou meilleur souvenir: Son pire souvenir ? Ça coule sous le sens. On ne connaît pas vraiment pourquoi elle est triskaïdékaphobe, même elle ne le sait pas. Un événement grave ne s'est jamais produit ce jour là... Oh, si, si il a de l'importance... Un treize janvier, même. Le jour de sa rébellion. Son père, qui désirait à une nouvelle fois l'entraîner pour qu'elle soit plus forte en escrime, se vu rejeté par cette dernière un duel avec lui. L'homme le prit si mal, qu'il comprit que sa fille resterait faible et la cicatrice sur sa joue n'est qu'une preuve qu'elle désire devenir plus forte que lui. C'est pour cela qu'au fond, elle désire prouver à son père et les autres qu'elle n'est pas du genre à se laisser marcher sur les pieds et qu'un jour, elle réussira à être plus forte que lui.


  » Raison de la venue dans l'Académie Yoshitoki : Le théâtre. Elle désirait devenir une grande metteuse en scène, une auteur au grand mérite. Mais pour cela, il fallait visé dans l'étude à l'étranger, étant donné que les universités... Ne lui apporterait rien. La détermination se lisant sur son visage, la demoiselle fit ses bagages et décolla pour atterrir au Japon, là où l'attendait l'académie Yoshitoki. L'académie semblait être un bon endroit pour apprendre, de plus, elle s'y sentit comme chez elle dès les premières minutes. Même si elle ne le montre pas systématiquement. Elle s'investit vraiment pour jouer des rôles, écrire des scènes. Elle a cet immense besoin de se sentir respectée.

☼ Autres informations: ☼

  » Autre particularité du personnage ? Elle sait se battre. A l'escrime hein, mais ne vous tentez pas à la provoquée dans ses mauvais jours, vous risqueriez d'en sortir avec des séquelles. Alice joue également du piano, mais c'est essentiellement pour des scènes dramatiques ou romantiques. Elle ne sait pas s'exprimer devant un piano, juste au travers d'une scène de théâtre.

  » Art(s) pratiqué(s) ? Piano, Théâtre, Littérature. Pour devenir une bonne auteur de scènes théâtrales, Alice doit suivre ces trois cours avec hardiesse. La chose que vous devez savoir, c'est qu'elle y met son Cœur, dans tout ce qu'elle entreprend. Le théâtre est un moyen d’échapper à la dure réalité et de se laisser aller à l'imagination.
  
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► Informations personnelles : ◄

  » Votre prénom: Maozora ou Obsessive Poison ~

  » Votre âge: 22 ans. (et toutes mes dents /O/)

  » Un parrain? /

  » Comment avez vous connus le forum? Par Miyu ♥ \o/

  » Niveau de rp: En général ? 15 - 20 lignes. Exceptionnellement ? 20 - 60 lignes. Mais ce sera hyper rare xD

» Code des règlements: C'est moi qui valide les codes !! Moi è__é (et moi, c'est Lyllou :3)